Créé en 2005, IBD Group intervient sur le marché du conseil opérationnel en stratégie et réduction des coûts auprès des PME en Europe. Le groupe est implanté dans de nombreuses villes françaises (Marseille, Lyon, Bordeaux, Grenoble, Rennes, Tours…), mais aussi dans certaines capitales européennes (Bruxelles, Londres, Genève) et sur le continent africain (Libreville, au Gabon).
Il a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros en agissant pour le compte de 5 000 clients – essentiellement des PME et PMI (employant moins de 250 personnes et réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 50 millions d’euros) dans des secteurs variés (industrie, négoce, services, commerces…).
Ce cabinet d’origine britannique s’appuie sur 150 collaborateurs au total : juristes, fiscalistes, experts comptables, ingénieurs, géomètres, acheteurs, contrôleurs financiers, cash and credit managers, logisticiens… « Nos consultants délivrent des conseils à valeur ajoutée dans une logique de sur-mesure, indique Jean-Patrick Mackossaud, président fondateur d’IBD Group.
Nous proposons une prestation complète depuis la phase d’audit jusqu’à la mise en application et le suivi des recommandations. Surtout, pour toutes nos interventions, notre rémunération porte uniquement sur un pourcentage de la somme obtenue par les pouvoirs publics, aucun honoraire ou frais de dossier n’étant demandé. »
Concrètement, les consultants des pôles social et fiscal/comptable du cabinet participent à la recherche d’économies sur les charges sociales (la tarification du taux accident du travail, notamment) et fiscales (essentiellement les impôts locaux) et la gestion des immobilisations, ainsi que le financement de l’innovation et de la recherche et développement (crédit d’impôt recherche, accompagnement pour l’obtention de financements publics…). « Nous guidons nos clients dans la maîtrise de leurs bases imposables, précise Jean-Patrick Mackossaud.
Les impôts locaux
représentent en effet une charge financière considérable pour les entreprises. Néanmoins, ce poids peut être sensiblement réduit par l’exploitation optimale de réglementations souvent mal connues et en permanente évolution. Le tout sans que nos clients n’encourent le moindre risque de redressement. » Le pôle cash d’IBD est, quant à lui, spécialisé dans l’optimisation et la gestion du poste clients. « La complexité de l’organisation, des offres, des systèmes d’information et des relations entre entités d’une même entreprise entraîne souvent des dysfonctionnements dans le processus vente-encaissement, développe encore le président d’IBD Group.
Ces dysfonctionnements ont des conséquences financières lourdes : signalons le manque à facturer – 80 % des entreprises peuvent perdre jusqu’à 3 % en moyenne de leur chiffre d’affaires –, des délais parfois importants entre la livraison et la facturation, et des niveaux d’encours clients échus qui s’accumulent et impliquent d’importants frais financiers. Notre rôle est d’aider les entreprises à générer rapidement des cash-flows en agissant sur l’ensemble des opérations qui vont de la vente à l’encaissement. Nous apportons des solutions concrètes et opérationnelles pour obtenir rapidement des résultats. »
En outre, le pôle des frais généraux assiste les entreprises dans la maîtrise et la réduction de leurs achats. « Les frais généraux peuvent représenter de 15 à 20 % du chiffre d’affaires d’une entreprise et il est possible, selon les postes, de réaliser jusqu’à 30 % d’économies, générant ainsi jusqu’à 6 % de résultat supplémentaire, explique Jean-Patrick Mackossaud. Les pratiques “achats” restent encore hétérogènes au sein des entreprises et le savoir-faire en la matière est peu capitalisé. L’évolution constante des marchés justifie en outre une remise en compétition régulière des fournisseurs. »
IBD Group a également créé deux filiales : la première dédiée à la création, au développement et à la transmission d’entreprise (IBD Commerce & Entreprise), la seconde spécialisée dans les activités business development (Global Consulting Services) – le télé-marketing, la force de vente, la direction commerciale externalisée… Et le cabinet ambitionne, pour l’année 2011-2012, un chiffre d’affaires de 60 millions d’euros grâce à la mise en place d’un pôle optimisation et gestion du patrimoine, et l’ouverture de bureaux à l’international, notamment en Afrique, aux Caraïbes et dans le Pacifique afin de renforcer son activité en conseil en développement économique (transferts de technologies, aides à l’emploi, aux investissements, à l’innovation…).