La Chambre de Commerce et d’Industrie de Sharjah (SCCI) et la Chambre arabo-portugaise de Commerce et d’Industrie (CCIAP) ont tenu une réunion de haut niveau pour explorer des pistes de coopération renforcée dans le commerce bilatéral, l’investissement et des secteurs stratégiques comme l’économie circulaire, le tourisme durable et l’agriculture intelligente.

La SCCI a accueilli une délégation de la CCIAP portugaise à son siège à Sharjah (l’un des émirats des Émirats arabes unis) pour discuter du développement des relations commerciales et d’investissement. Parmi les thèmes principaux figuraient l’expansion des échanges bilatéraux, des opérations de co-investissement et l’identification de secteurs à forte valeur ajoutée.

Le Président de la SCCI, Abdallah Sultan Al Owais, et le vice-Président de la CCIAP, Rui Gomes da Silva, étaient présents aux côtés de plusieurs hauts responsables des deux institutions.

Les discussions ont notamment porté sur un virage vers des produits industriels non-pétroliers, signe d’un engagement à diversifier le profil des échanges. L’objectif est de construire un partenariat plus durable et résilient, moins dépendant des matières premières traditionnelles.

Un autre point clé a été l’identification d’opportunités d’investissement conjoints dans des domaines stratégiques : économie circulaire, tourisme durable et agriculture intelligente, selon les déclarations des deux parties.

Dans son intervention, Abdallah Sultan Al Owais a affirmé que Sharjah disposait d’un environnement favorable aux investisseurs : infrastructures modernes, emplacement stratégique et politiques incitatives pour les projets de long terme. Il a mis en avant l’engagement de la Chambre à soutenir des partenariats qui correspondent aux priorités économiques des deux côtés.

De son côté, Rui Gomes da Silva a salué la vision proactive de Sharjah et a insisté sur la richesse du potentiel de croissance partagée. Il a souligné que la CCIAP joue un rôle central pour canaliser les investissements portugais vers l’émirat, en particulier dans des secteurs orientés vers l’avenir.

Les deux institutions ont également convenu de lancer des missions commerciales réciproques et de faciliter les rencontres entre investisseurs. Cela devrait renforcer l’engagement des entreprises des deux nations et créer des projets concrets à moyen et long terme.

Article précédentYumens : Vous n’investissez pas encore dans les social ads ? Il est temps de le faire !
Article suivantKPMG : Transmission, digitalisation et réindustrialisation, trois axes d’expertise qui sont au coeur de notre accompagnement dédié aux ETI