Le rêve américain est toujours présent dans le coeur des français qui espèrent plus de réussite sur le plan professionnel avec les grandes promesses libérales de la première puissance mondiale, mais comment s’installer à New-York ou Los Angeles ?
Dans les grandes métropoles américaines où tout semble possible -notamment New-York qui fait rêver nombre de français- il n’est pas si simple de s’installer, de s’intégrer et de faire son trou, raison pour laquelle il est impératif de cibler ce que l’on souhaite faire dans le pays de l’Oncle Sam.
En premier lieu, les secteurs les plus porteurs aux États-Unis sont ceux des technologies et de l’innovation. La French American Chamber of Commerce (FACC) recense un nombre conséquent de start-up sur son site internet avec une large palette d’offres d’emplois pour les citoyens venus de l’Hexagone, la plupart de ces contrats étant des VIE (Volontariat International en Entreprise) valables de 6 à 24 mois pour les moins de 29 ans.
Un CAP pâtisserie pourrait vous rapporter un bon paquet de dollars
D’autres secteurs ont aussi la côte comme ceux de la santé, des cosmétiques, du tourisme ou encore l’hôtellerie-restauration. Si votre ambition professionnelle est d’être le prochain Paul Bocuse, il y a fort à parier que votre talent en cuisine séduira le public américain et que vous pourriez rapidement devenir la nouvelle adresse des stars américaines, et concrétiser ainsi le légendaire American Dream.
Le plus important est de préparer ses démarches avant le départ, la demande de visa se fera en fonction du poste ciblé, de même qu’il faudra vous rendre à l’ambassade des États-Unis en France pour un entretien avant de décrocher le précieux sésame.
Côté CV, le modèle universel américain parle du «resume», ce document qui doit être concis et clair sert à lister vos références, le poste visé, vos compétences et expériences, vos centres d’intérêt. Il est primordial d’indiquer le type de visa que vous allez demander, vous n’avez pas d’obligation de mettre une photo, ni d’indiquer votre âge ou votre sexe bien que cela puisse être utile en fonction du poste convoité. Bien sûr, le «resume» est à rédiger intégralement en anglais. La «cover letter» qui désigne la lettre de motivation suit les même codes que le modèle français, à vous de savoir montrer votre intérêt pour l’emploi visé.